Le 22 mars, Channel NEWS relayait les résultats, publiés dans le troisième Global Data Protection Index, d’une étude menée sur 2200 décideurs informatiques d’entreprises privées et publiques de plus de 250 salariés dans 18 pays et 11 secteurs d’activité, sur la maturité de leurs stratégies de protection des données.
En tant qu’éditeur de logiciels métiers et opérateurs de services Cloud, Xelya est particulièrement sensible à ce type d’informations : c’est ici l’occasion de faire le point sur ces risques et les spécificités françaises que révèlent cette étude
Ce qu’il faut en retenir
Cette étude révèle un taux de croissance exponentiel sur deux ans du volume des data dans les entreprises, avec un impressionnant +701 % en France. En effet, le volume moyen des données gérées connaît une forte augmentation et, en 2018, 80 % des entreprises françaises sont conscientes de la valeur de leurs données. Toutefois, seulement 20 % d’entre elles les monétisent. Un taux inférieur à ceux du Royaume-Uni, des Etats-Unis, et de la moyenne mondiale qui s’établit à 36 %.
En France, 46 % des entreprises sont confrontées à la complexité de la configuration et de l’exploitation du logiciel/matériel de protection des données, ainsi qu’aux coûts liés au stockage et à la gestion des copies de sauvegarde ; 44% des entreprises rencontrent des difficultés à se mettre en conformité avec les nouvelles réglementations telles que le RGPD ; et 43% des entreprises françaises se plaignent de l’absence de solutions de protection des données pour les technologies émergentes.
Aujourd’hui, la plupart des entreprises dans le monde admettent avoir du mal à protéger leurs données correctement mais les entreprises françaises semblent être particulièrement confrontées à la perte de données, bien plus que ses voisins anglais et allemands. Les incidents les plus courants recensés sont les interruptions imprévues des systèmes, les attaques par ransomware qui empêchent l’accès aux données, et la perte de données.
Xelya accompagne les structures de services à la personne, les cabinets d’avocats et les PME de services, à la fois en tant que sous-traitant, co-responsable de la protection des données de ses clients, mais aussi en leur fournissant des outils pour améliorer la sécurité au sein de votre cabinet.